Description
Pourquoi m'appelez-vous Seigneur sans faire ce que je dis?
Jonathan Bersot propose une lecture inédite du récit de la femme Samaritaine à la lumière de la parabole du bon Samaritain pour un enseignement fondamental. Il s'agit d'une étude approfondie de Jean 4.1-42, Luc 10.25-37 et Luc 6.12-49.
Comprenez-vous toujours ce que vous lisez dans la Bible ?
Jonathan Bersot propose une lecture originale de l’histoire de la Samaritaine au puits de Jacob, récit que l’on peut lire dans le quatrième évangile (Jean 4.1-42). En utilisant de manière inédite la parabole du bon Samaritain comme clé d’interprétation (Luc 10.25-37), le texte prend une autre saveur avec un sens nouveau. Avec la pédagogie d’un enseignant de la Bible, l’auteur conduit son lecteur à lire le texte biblique comme il ne l’a jamais lu. Cette étude est accessible à tout public et permet de mieux comprendre comment lire la Bible pour l’interpréter. Un enseignement pratique et moderne est aussi développé à partir d’une question que Jésus a posée à ses disciples et qui synthétise la leçon de ce texte : « Pourquoi m’appelez-vous Seigneur et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6.12-49).
À propos de l'auteur:
Jonathan Bersot est docteur en études bibliques et pasteur enseignant d’expérience. Il est actuellement le président de l’Institut Biblique du Québec (ibq.ca) ainsi que missionnaire enseignant à la Faculté Avancée de Théologie des Assemblées de Dieu de Lomé au Togo où il enseigne depuis 2009 au deuxième et troisième cycle universitaire (fatad.org).
Jonathan est marié à Anne qui est sa partenaire dans le ministère depuis plus de trente ans. Ils ont trois filles adultes et impliquées dans l’oeuvre de Dieu. Ils sont aussi fiers de leurs petits-enfants.
Tous les bénéfices de ce livre sont versés à l’œuvre missionnaire des Assemblées de la Pentecôte du Canada pour l’enseignement théologique en Afrique francophone (www.bersot.ca).
Ce livre est le premier de la série "Comprends-tu ce que tu lis ?"
Format: 148 x 210 mm
Pages: 210
Poids: 245 grammes
Extrait du livre :